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quinta-feira, 26 de maio de 2011

BPE Juan Carlos I

De nouvelles images du BPE Juan Carlos I

Le BPE Juan Carlos I
crédits : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE


24/05/2011

La fin de la première escale à Toulon du bâtiment de projection stratégique (BPE) Juan Carlos I a été l'occasion, pour notre correspondant Jean-Louis Venne, de prendre de nouvelles vues de cet impressionnant navire. Réalisant actuellement sa traversée de longue durée, le nouveau navire amiral de l'Armada espagnole mesure 231.4 mètres de long et affiche un déplacement de 26.800 tonnes. Il peut embarquer une trentaine d'avions et d'hélicoptères, jusqu'à 1000 hommes de troupe, quatre chalands de débarquement et des dizaines de véhicules.
Après Toulon, le Juan Carlos I est attendu à Istanbul puis à Ceuta, son retour en Espagne étant prévu en juin.


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


Le Juan Carlos I (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

sábado, 21 de maio de 2011

Underwater Predator.”

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Beastly Drone Sub Is ‘Underwater Predator’


TAMPA, Florida — Ross Lindman gently pats the black hull of his intimidating 25-foot aquatic robot. Then he gestures to the bomblets strapped to either side of it. “This,” says the Columbia Group vice president, “is an underwater Predator.”

Lindman isn’t kidding. On one side of the Proteus, the Columbia Group’s experimental submarine, are two 220-pound bomblets. They’re merely for display here at the Special Operations Forces Industry Conference, but the passersby get the picture.

And that doesn’t remotely approach what the Proteus can carry. Either side of the sub can hold up to 1,600 pounds of cargo.

“You can strap different types of mines and ordnance to it,” Lindman says, 3,200 pounds’ worth. That’s way more firepower than the two Hellfire missiles that fit aboard the Predator, the iconic drone plane that serves as a muse for Lindman’s sub.

All of that is in addition to its potential spying capacity. The 6,200-pound sub can hold up to 400 pounds of gear inside it — a lot of sensors and cameras to find dangers lurking in the briny deep. Or, you can cram commandos inside.

The Proteus is designed to be a somewhat autonomous vehicle: Plug in coordinates for it and watch it go. But it also has a manned function, with enough bay space to stow up to seven Navy SEALs, should they need to be inserted. But don’t keep ‘em in long; there’s not a lot of space for them to get comfortable.

The Proteus is a step in a direction the Navy’s top officer badly wants the seafaring service to travel. Adm. Gary Roughead, the outgoing chief of naval operations, has delivered speech after speech urging engineers to build an “unmanned underwater vehicle” — a robotic sub — capable of traveling thousands of nautical miles for months on end without exposing human submariners to risk. (More on that in a subsequent post.)

Proteus can’t meet Roughead’s lofty goals. It tops out at a range of 324 nautical miles before it needs to refuel, a task that will last it 92 hours. It can’t go faster than 10 knots, and the Columbia Group anticipates it’ll most likely travel between 3 and 5 knots.

But it’s a step toward a bigger unmanned sub that’s weaponized — the current ones commandos use are about the size of a torpedo. Roughead considers weaponized UUVs to be an inevitability. Conceivably, the robot subs of the future will carry weapons like torpedos to disable mines. Or, they’ll be weapons themselves, hurtling like mechanized kamikazes at a target.

The Proteus takes the first approach. Lindman imagines it strapped with a bevy of different weapons, like the MK67 Submarine Launched Mobile Mine or the MK-54 torpedo. Or it could carry the Sea Fox, itself another robot, designed to blow up mines with a shaped charge.

Gesturing to the weapons bay, Lindman says, “I can carry other vehicles” on the Proteus — even suicidal ones like the Sea Fox.

That’s if it works. Proteus won’t go into the water until the summer, near Columbia Group’s home of Panama City, Florida. The military hasn’t invested a dime into the thing’s development. But if the sub can make it out of development doing as much as Lindman envisions, the seas will be stalked by a new robotic pred

quarta-feira, 18 de maio de 2011

DCNS procède à la mise à flot du patrouilleur L'Adroit

Le patrouilleur L'Adroit est sorti samedi de son hall de construction
crédits : DCNS


18/05/2011

C'est aujourd'hui que le prototype de la famille des corvettes et patrouilleurs hauturiers de la famille Gowind est mis à flot. Construit sur le site DCNS de Lorient, L'Adroit est sorti samedi dernier de son hall de construction. Le bâtiment a été transféré sur une barge, l'ensemble étant remorqué hier vers le bassin numéro 3. La cale sèche a ensuite été vidée puis la barge séparée de son colis avant que le bassin ne soit remis en eau et que la coque flotte. DCNS et ses sous-traitants vont désormais achever le navire, en vue d'effectuer cet été les premiers essais en mer. En fin d'année, le patrouilleur sera mis à la disposition de la Marine nationale, qui l'armera durant trois ans. Il sera basé à Toulon et rattaché à la Force d'Action Navale (FAN). L'Adroit a été construit sur fonds propres par DCNS dans le cadre du projet Hermès. Le partenariat signé avec la marine française doit permettre à l'industriel de disposer d'un navire éprouvé à la mer et, grâce au retour d'expérience, d'effectuer d'éventuelles modifications. DCNS fonde, en effet, beaucoup d'espoir dans la vente de ce nouveau type de bâtiments à l'export. La famille Gowind a d'ailleurs été déclinée en différentes versions, les plus évoluées affichant un déplacement de 2500 tonnes et pouvant embarquer un armement assez conséquent (missiles antinavire, système surface-air, canon de 76mm). En dehors des marines étrangères, le marché national est également visé par DCNS puisque la flotte française aurait besoin de 18 unités de type Offshore Patrol Vessel (OPV) pour remplacer, dans les 15 prochaines années, ses patrouilleurs et frégates de surveillance.


L'Adroit à sa sortie de chantier (© : DCNS)

Une vitrine flottante

Long de 87 mètres pour un déplacement d'environ 1500 tonnes en charge, L'Adroit disposera d'une artillerie légère (20mm et 12.7mm), ainsi que d'un système de mise à l'eau pour deux embarcations rapides par le tableau arrière. Il pourra également embarquer un hélicoptère ou des drones. Côté équipements, DCNS a créé un « Club d'investisseurs », au travers duquel plusieurs groupes vont mettre à disposition des matériels. Participent ainsi à l'opération le Danois Terma avec le radar de veille Scanter, les Français Sagem, Thales et Lacroix pour la centrale inertielle, les communications militaires et les lance-leurres, l'Italien OTO-Melara pour le canon de 20mm ou encore l'Allemand Links+Rechts pour les feux aviation. Pour ces équipementiers, le programme Hermès permet de faire valoir leurs produits sur un bâtiment moderne, « labellisé » par la marine française et amené à participer à de nombreuses missions, exercices, escales et représentations à l'étranger.
Doté de deux moteurs ABC de 2800 kW chacun, le nouvel OPV pourra atteindre 21 noeuds et affichera une autonomie de 8000 nautiques à vitesse économique, soit environ trois semaines d'opérations. Le bâtiment comptera un équipage de 30 marins et disposera de logements pour 29 personnes supplémentaires, par exemple des forces spéciales. Adoptant des normes civiles pour réduire les coûts, le navire a été spécialement conçu pour répondre aux nouvelles menaces, notamment asymétriques (passerelle panoramique, canons à eaux, mât unique...) et assurer un vaste panel de missions, allant de la surveillance maritime à la lutte contre le terrorisme, en passant par la lutte contre la piraterie et les trafics illicites, ou encore la police des pêches.


L'Adroit en assemblage cet automne (© : MER ET MARINE)


L'Adroit en janvier (© : DCNS)


L'Adroit à sa sortie de chantier (© : DCNS)

Chantier dédié

On notera enfin que DCNS a profité de ce projet pour mettre en place un chantier dédié et initier de nouvelles méthodes de production comme d'organisation. Installé dans un ancien atelier composite, édifié initialement pour réaliser les bâtiments anti-mine océaniques (BAMO) abandonnés en 1991, le chantier Hermès a mobilisé plus de 100 personnes, exclusivement affectées à ce programme. Confrontées à d'importantes contraintes, les équipes de DCNS et de ses sous-traitants avaient pour objectif de réduire les coût et délais de conception comme de production, deux ans à peine s'écoulant entre le début des études et la livraison.


L'Adroit (© : DCNS)


L'Adroit (© : DCNS)

Les ambitions des CMN à l'export, mais aussi en France

Le patrouilleur hauturier Vigilante 1400 CL 78
crédits : CMN


25/06/2009

A l'occasion de la mise à flot de la corvette Baynunah, plus grand navire militaire réalisé par les Constructions Mécaniques de Normandie, nous revenons aujourd'hui sur les produits et les ambitions de l'industriel cherbourgeois. Spécialiste des superstructures en aluminium et de l'intégration de multiples senseurs et systèmes d'armes sur des plateformes de petite taille, les CMN, dans le domaine naval, se positionnent sur deux segments. Le premier, à l'image de la célèbre famille des Combattante et aujourd'hui de la Baynunah, est celui des navires rapides, furtifs et puissamment armés, capables de porter des coups dissuasifs à l'ennemi. Le constructeur, qui a également développé une gamme d'intercepteurs rapides, se positionne fortement sur les bâtiments de souveraineté. De taille moyenne, ces unités doivent être économiques et disposer d'une solide endurance. Dans cette catégorie, les patrouilleurs du type P400 de la Marine nationale, opèrent depuis plus de 20 ans dans les espaces océaniques. Sur cette base, les CMN ont développé la famille des Vigilantes.


Vigilante 1400 CL 78 (© : CMN)

La Vigilante 1400 CL 78 pour remplacer les patrouilleurs de la Marine nationale

Sur ce segment, un nouveau navire, la Vigilante 1400 CL 78, devrait servir de base aux CMN pour se positionner sur le remplacement des patrouilleurs de la Marine nationale. Cette dernière commence à voir le retrait du service des P400 (une série de 10 unités), à commencer par La Fougueuse, récemment rentrée à Brest pour être désarmée. La capacité sur ce type de bâtiment sera provisoirement maintenue par le reclassement des 9 avisos du type A 69 en patrouilleurs de haute mer. Mais, à partir de 2017, la loi de programmation militaire (LPM) prévoit la livraison du premier d'une nouvelle série de « patrouilleurs hauturiers ». Pour remplacer les Audacieuse «(54 mètres, 480 tonnes en charge), les marins souhaitent des bateaux plus importants. Il s'agit, en effet, de disposer d'unités offrant une meilleure tenue à la mer, une plus grande autonomie et une capacité d'emport d'hélicoptère.


Vigilante 1400 CL 78 (© : CMN)

Ces bateaux doivent, dans le même temps, être simples et robustes, tout en présentant un coût de fonctionnement et d'entretien limité, notamment via une maintenance allégée et un équipage réduit. Ils doivent aussi répondre aux besoins en matière de lutte contre le narcotrafic, la piraterie et le terrorisme. Suivant cette idée générale, les CMN proposent un premier projet : La Vigilante 1400 CL 78. Du type Ocean Patrol Vessel (OPV), ce bateau de 79 mètres de long et 13.4 mètres de large aurait un déplacement de 1400 tonnes. Doté d'une puissance propulsive de 18 MW, il pourrait atteindre la vitesse de 24.5 noeuds et disposerait d'une autonomie conséquente, de l'ordre de 6000 nautiques à 12 noeuds (30 jours d'opérations). Disposant d'une plateforme et d'un hangar pour un hélicoptère (ou des drones), ce bateau pourrait accueillir une cinquantaine de personnes, pour moitié en équipage. Des logements sont en effet prévus pour héberger une unité de commandos, des embarcations rapides étant logées de part et d'autre du navire.
Outre la Marine nationale, on estime aux CMN que ce concept pourrait intéresser d'autres flottes, soucieuses de renforcer leurs capacités de surveillance maritime hauturière.


Vue de la Baynunah (© : CMN)

Baynunah : Le haut de gamme des CMN

Les CMN fondent également beaucoup d'espoir dans leur gamme de navires de combat de 40 à 70 mètres. A Cherbourg, l'industriel travaille actuellement sur la première des six corvettes commandées en 2003 et 2005 par les Emirats Arabes Unis. Du type Baynunah (Combattante BR 71), ce navire, mis à flot aujourd'hui, sera livré en 2011 après la phase d'intégration et d'essais. Long de 72 mètres pour une largeur de 11 mètres et un déplacement de près de 800 tonnes en charge, ce bâtiment est particulièrement armé pour une unité de cette catégorie. Il embarquera, en effet, 8 missiles antinavire Exocet MM40 Block3, 2 systèmes de lancement vertical pour 8 missiles surface-air ESSM, un système surface-air RAM, une tourelle de 76 mm, deux canons de 30 mm, et disposera d'un hangar et d'une plateforme pour un hélicoptère.


Combattante BR71 ou Baynunah (© : CMN)


Combattante BR70 et BR71 (© : CMN)


Patrouilleurs du type BR42 (© : CMN)

Outre les Baynunah, le constructeur français propose toute une gamme de patrouilleurs armés de la famille Combattante, comme les BR42 réalisés entre 1998 et 2000 pour le Koweït. Longs de 42 mètres pour un déplacement de 250 tonnes en charge, ces bâtiments disposent de quatre missiles antinavire Sea Skua, 1 canon de 40 mm, deux canons de 20 mm et une mitrailleuse de 12.7 mm. Les 8 bateaux Koweïtiens font actuellement l'objet d'un programme de remise à niveau, portant notamment sur la propulsion et le traitement des obsolescences.


Combattante BR62 S (© : CMN)

Patrouilleurs furtifs

Les CMN se positionne également sur le marché des patrouilleurs furtifs. Un projet, baptisé Combattante BR 62S, donne une bonne idée des solutions proposées. L'armement est, notamment, totalement intégré aux superstructures, qu'il s'agisse de cellules à lancement vertical pour les missiles antimissiles, ou de logements intégrés à la coque pour les missiles antinavire. Le Combattante BR 62S dispose, en outre, d'une mâture unique regroupant les radars de veille et les moyens de guerre électronique. A l'instar de la Visby norvégienne, elle pourrait être dotée d'un canon dont l'affut, lorsqu'il ne sert pas, est encastré dans la tourelle de manière à limiter la surface équivalente radar. CMN place de grands espoirs dans cette nouvelle génération de navires. Le groupe pourrait d'ailleurs, prochainement, annoncer la signature d'un important contrat pour la réalisation de patrouilleurs novateurs inspirés de ce concept.


Vigilante 400 CL54 (© : CMN)

Une gamme complète d'OPV

En attendant la commande éventuelle d'un navire comme la Vigilante 1400 CL 78, les CMN ont déjà remporté, ces dernières années, plusieurs succès à l'export sur le segment des patrouilleurs du type Ocean Patrol Vessels (OPV). Ces unités hauturières, peu armées, doivent être capables de mener de longues missions de surveillance maritime et de répondre aux nouveaux besoins, comme la lutte contre la piraterie ou le narcotrafic. A cet effet, la famille des Vigilante a déjà été vendue à plusieurs pays. Le Brésil a notamment acquis deux unités du type Vigilante 400 CL54. Dérivés des patrouilleurs P400 de la Marine nationale, ces bateaux de 52 mètres et 500 tonnes, armés d'un canon de 40 mm et deux mitrailleuses de 12.7, sont réalisés en transfert de technologie par Industria Naval Do Ceara (INACE) aux chantiers Fortaleza. Les CMN apportent un soutien technique pour ce programme, en marge duquel elles ont signé en avril 2005 un accord de coopération avec Empresa Generencial de Projectos Navais, société en charge de la promotion et du développement de l'industrie brésilienne de défense. L'industriel français a, d'ailleurs, vendu une licence à EMGEPRON pour la réalisation de quatre patrouilleurs supplémentaires. Malgré cette présence au Brésil et la vente, précédemment, de trois Vigilante à l'Uruguay et six autres au Pérou (classe Velarde - PR 72), le groupe français semble faire face à des débouchés limités en Amérique latine. L'Afrique et la région du Golfe restent donc, pour CMN, la région la plus prometteuse. Face aux besoins croissants de surveillance maritime (immigration, piraterie, drogue, contre-terrorisme), le constructeur espère bien vendre de nouveaux patrouilleurs de surveillance.
Enfin, on doit également au groupe français la famille des Intercepteur, petites unités de 15 mètres capables de filer 50 noeuds et dotés d'une artillerie légère.


Intercepteur DV20 (© : CMN)

Reprises en 1992 par les frères franco-libanais Iskandar et Akram Safa, les CMN emploient 450 personnes, principalement dans le Cotentin, et ont vendu en 40 ans quelques 129 patrouilleurs et corvettes dans une vingtaine de pays. A Cherbourg, CMN s'étale sur quelques 150.000 m2, dont un tiers de surface couverte. Le chantier, spécialistes des structures en aluminium, dispose d'un système de mise à l'eau Synchrolift de 90 mètres de long pour 27 mètres de large (capacité 3500 tonnes). Outre les navires militaires, les Constructions Mécaniques de Normandie sont également présentes sur le segment des yachts, achevant cette année deux unités de 60 mètres, les Slipstream et Cloud 9.


Le site des CMN à Cherbourg (© : CMN)